The Globe and Mail
23 juillet 2025.
Diana Orlic, conseillère en placement principale chez Patrimoine Richardson, explique comment les certificats canadiens d’actions étrangères (CCAÉ) simplifient la gestion de l’exposition aux actions étrangères dans les portefeuilles des clients.
« Lorsque nous achetons des actions américaines en dollars canadiens, nous devons discuter avec nos clients de l’impact potentiel des fluctuations monétaires », dit-elle. Cette explication devient plus facile grâce aux CCAÉ.
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*Cet article est disponsible en anglais seulement.